La nuit tombait sur Venise, et la tisserande continuait son business dans l’ombre tamisée de son fabrique. Son poste à tisser, fidèle animal domestique de ses visions silencieuses, laissait glisser des fils d’or et de soie entre ses soi. Le tissu qu’elle créait semblait vibrant, presque vivant, comme si chaque https://connersksxz.mpeblog.com/59195416/les-fils-du-talent