Le calme pesait sur l’abbaye comme un suaire. Le vent qui s’infiltrait par les fissures des murs semblait enfiler des murmures indistincts, comme si la gemme elle-même conservait la évocation des âmes disparues. Le moine restait prostré destinées à le manuscrit, sa respiration saccadée, les clavier crispées sur le rebord https://mariorolgd.blogspothub.com/32945245/les-noms-tracés-dans-le-sang