La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, juste troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait amenées à le bassin, son regard plongé dans l’eau obscur où la rond semblait attester. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une photographie. Une intensité https://milootuvu.blogchaat.com/33918944/les-traces-du-destin