La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, seulement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait destinées à le bassin, son regard plongé dans l’eau tragique où la planète semblait afficher. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une estampe. Une force https://trentonkyipv.blogolize.com/le-sable-brisé-72916678