La gare était plongée dans une brume dense, un store épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de la passerelle indiquait minuit, l’heure exacte du début du train. Le passager se tenait sédentaire, observant l’immense appareil d’acier triste qui sifflait délicatement, prête à https://dallasgqxgo.blogerus.com/56097026/le-train-sans-renouveau