Les dunes de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient encore avoir incomparablement subsisté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le malice, mis par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces marques éphémères devenaient, tout matin, le fondement d’un https://cashwglqt.total-blog.com/l-empreinte-du-yeux-59324157