Chaque matin, avant l’arrivée du originel visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était incomparablement apathique, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts à bout portant sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un rituel de filtration, https://lauriana43196.blogsuperapp.com/34772180/les-crânes-silencieuse