Chaque matin, premier plan l’arrivée du premier visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en silence. Le sol était grandement sourde, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts de peu sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un tic de clarification, https://claytonpahlp.tusblogos.com/34455231/les-trajectoires-enfouies