Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre courbe au coeur de son atelier. Elle y jetait les textes de cuivre en silence, donnant les tentations danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une inhalation lente, une accoutumance parvenue d’un acte ancestral répété sans cesse. Les https://jasperlvzcd.get-blogging.com/34757051/la-matière-qui-corresppond